Sous-Préfecture, arrondissement de Bordeaux

Sous-Préfecture, arrondissement de Bordeaux
à Messieurs les Maires de l’Arrondissement

Monsieur le Maire,

Le sieur Saget, artiste de Bordeaux, vient de terminer le buste de grandeur naturelle, de sa Majesté Louis XVIII. Ce buste a été jugé très-ressemblant par toutes les personnes qui ont eu le bonheur de voir notre auguste Monarque. Indépendamment de ce précieux avantage, il se recommande encore par une belle exécution. Les fonctionnaires publics, beaucoup de personnes de distinction, se sont empressées de souscrire chez l’auteur. J’ai pensé que chaque Maire de mon arrondissement devait posséder l’image révérée de Louis le Désiré. Les citoyens rendus à leurs travaux, les propriétaires jouissant enfin du produit des sols et du fruit de leurs sacrifices, les mères de famille pressant désormais, sans crainte et sans amertume, leurs enfants en sur leurs seins, aimeront à contempler les traits chéris du Monarque auquel nous devons la paix et le bonheur. Ce buste sera, Messieurs les Maires, le plus bel ornement de vos fêtes publiques ; vous lui devrez d’heureuses inspirations dans vos réunions municipales ; et tant qu’on pourra le prendre à témoin de ses intentions, on aura bien servi le Prince de la Patrie.
En conséquence, j’ai l’honneur de vous inviter à souscrire pour le prix de 20 francs. Si votre commune a des fonds en caisse, je vous autorise à tirer un mandat sur Mr le Percepteur ; il lui sera alloué dans ses comptes et il tiendra cette somme à ma disposition, sur l’avis que vous m’en donnerez en m’accusant réception de la présente. Dans le cas contraire, veuillez ouvrir une souscription qui sera bientôt remplie par les principaux habitants de votre commune. Il convient qu’elle soit terminée d’ici au 15 du mois prochain. Le produit en sera déposé soit chez le sieur Saget : fossés de l’Intendance au n° 44, soit chez le percepteur de votre commune.
Je vous prie de me faire immédiatement connaître vos dispositions.
J’ai l’honneur Messieurs, de vous saluer avec une considération distinguée.

Fait à Bordeaux le 19 octobre 1814, signé Chicou-Bourbon, Sous-Préfet.
La souscription pour le buste de Louis XVIII organisée lors de la fête publique qui eut lieu à Castelnau chef-lieu de Canton rapportera 42,25 francs dont 3 francs donnés par Lafon Ducluzeau mais aussi
0,10 francs par certains citoyens……. Les temps étaient durs pour certains…….

JD Birebont, octobre 2008

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Eglise de St Amand de Saumos

Après destruction au IXème siècle, par les Normands d’une ancienne église en bois, l’église actuelle aurait été édifiée en rapport avec les grands pèlerinages sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Elle était Chapelle de Commanderie des Templiers, avec un hôpital, dès 1170.

Cette paroisse est mentionnée pour la première fois par écrit le 31 mars 1343 dans le testament du noble et baron le Seigneur Jean II de Grely (Grailly), qui était Captal de Buch et Seigneur de Puypaulin, du diocèse de Bordeaux. Les pèlerins de St Jacques de Compostelle empruntait les sentiers venant de Benon, Ste Hélène ou Brach, puis continuaient vers le Temple de Sauturges avant de s’enfoncer dans les landes marécageuses et insalubres et rejoindre St Jean-Pied-de Port puis, par le col de Huntto (prononcez Hountio), ils empruntaient le camino afin de rejoindre Roncesvallès (Roncevaux), direction St Jacques de Compostelle.

Après Saint Orientalis et Saint Delphin, Saint Amand (« du latin Amandus ») a été le 3ème évêque de Bordeaux fin IVème siècle et Vème siècle, avec Saint Seurin ; selon une notice de Saint Grégoire de Tours, il fut le prédécesseur et le successeur de Saint Seurin. Il est représenté dans l’église par le magnifique vitrail du Grand Chœur.
C’était une église séculière d’après l’abbé Baurein donc ne dépendant pas d’un ordre religieux, mais directement de l’Archevêque.

Connue sous le nom de St Amand de Courguas, située dans les landes du Médoc à quatre petites lieues de la juridiction de Castelnau dont elle dépendait, cette paroisse est située dans l’archiprêtré de Buch et de Born. Construite début du XIIème siècle, son église comporte une nef, un porche roman et un chevet à forme plate aux angles arrondis. Le chevet était composé à l’origine de quatre colonnes demi-engagées dans des pilastres plats. Il n’en subsiste que trois, la quatrième ayant été détruite lors de la construction de la sacristie. Ces colonnes reposent sur bases moulurées et les chapiteaux sont ornés de feuillages. La façade occidentale est surmontée d’un clocher mur percé de deux baies pour accueillir deux cloches et on peut y trouver une pierre gravée en 1113. Lors du transfert du cimetière en 1896, il a été signalé la découverte de sarcophages du VIème siècle dont un est encore visible dans les jardins du presbytère.

Au XVIIème siècle, une seconde nef est érigée à l’honneur de la Ste Vierge en forme d’appentis avec charpente et lambris de bois, une sacristie tribune qui sera supprimée au XIXème siècle. Son clocher actuel date de 1731, la réfection des bénitiers de cette date également mais depuis la révolution jusqu’à 1842, l’absence de prêtre et donc de culte ont provoqué le délabrement de l’édifice.

C’est en 1853 que commencent les grandes réparations de l’église. Une nouvelle cloche sera posée en 1856 avec comme inscription : St Amand patron de la paroisse de Saumos, Osten trésorier de la Fabrique, fabricant Deyres et Fils de Bordeaux.

Puis de 1891 à 1893, les murs seront rehaussés de 50cm en pierre d’alios, des voutes en brique seront construites, des contreforts extérieurs à abside arrondie consolideront le chevet, le Grand Autel à retable sera restauré et une porte cloutée sera posée après percement du mur Ouest. Les vitraux de Pierre Gustave Dagrand peintre verrier de Bordeaux, élève de Maïtre Joseph Villet de Bordeaux agrémenteront le style de cette église paroissiale.

De 1949 à 1975, durant le ministère de l’abbé Chantrenne (en 1954), l’Autel de la Ste Vierge sera restauré sous la supervision des sœurs dominicaines de Bordeaux. En 1972, une chaire offerte par le prêtre de Cenon achèvera la décoration et en 1988, la croix du clocher sera déposée, restaurée puis remise au sommet du clocher.

JD Birebont, octobre 2008

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Compléments historiques

Les anecdotes relatées ci-dessous sont complémentaires à celles du tome I et pourront apporter un certain éclairage sur les évènements castelnaudais.

On se souvient qu’en 1307, Pierre de Grely avait épousé Assahilde de Bordeaux qui mourut en 1327. Ils eurent une fille, Brunissen, qui se mariera à Bérard d’Albret, fils d’autre Bérard seigneur de Vayres et de Verteuil. Le contrat de leur mariage fut passé dans les cloîtres de l’Eglise Saint André le 18 juin 1336. Veuf d’Assahilde, Pierre de Grely se remarie avec Ayremburge, sœur d’Archambaud comte du Périgord. De ce mariage fut procréé Archambaud de Grely, futur captal de Buch.

Aux environs de Meaux, une révolte paysanne d’environ 40000 individus armés de fourches et de masses, élisent un chef nommé Jacques Bonnerre dont l’insurrection prendra le nom de Jacquerie. Ils conspirent pour la perte de la Noblesse et on ne sauroit exprimer les ravages qu’ils font dans la campagne ni les cruautés horribles qu’ils y exercent. Ils étaient sur le point de forcer la ville de Meaux occupée par le duc d’Orléans et son épouse, lorsque Jean III de Grely, revenant de Prusse avec le comte de Foix et leurs 60 lanciers gascons, entre dans la ville, charge les révoltés et les met en fuite après en avoir tué 7000.

Jean III de Grely commanda les troupes de Charles II roi de Navarre à la bataille de Cocherel en 1364 mais il y fut fait prisonnier par le roi de France. La paix surviendra rapidement l’année suivante entre ces deux rois belligérants grâce à l’aide et le grand sens de Monseigneur le Captal de Buch Jean de Grely. Le roi de France lui en témoigna beaucoup de bienveillance et en reconnaissance, lui donna la terre et le château de Nemours. La satisfaction du roi de France fut de courte durée car, de retour auprès du prince de Galles, Jean III de Grely dépêcha son écuyer pour renvoyer son hommage au roi de France et à renoncer au don qu’il en avait reçu. Il en fut rapidement dédommagé par le roi de Navarre qui, par Lettres Patentes du mois de mai 1365, lui assigna 3000 livres et la châtellenie de Conches en Normandie. Pour ne pas être en reste, le prince de Galles voulant récompenser les différents services rendus par Jean III de Grely, lui donna (et à ses descendants mâles) le comté de Bigorre avec tous les droits qui en dépendaient (Lettres Patentes du 27 juin 1369 faites à Angoulème). Mais la guerre ne tarde pas à se rallumer entre la France et l’Angleterre et Jean III de Grely fut à nouveau fait prisonnier en 1372. Charles V, roi de France, refusa de rendre le captal de Buch aux anglais car il étoit pour ce jour le Chevalier de Gascogne et d’Angleterre que le roi de France désiroient le plus à tenir parce qu’il étoit moult fort hardi et bon Capitaine. Jean III de Grely mourut dans sa prison en 1377 et enseveli dans l’Eglise du Temple de Paris.

Sans postérité, ce sera donc son oncle Archambaud de Grely (fils de Pierre II et d’Ayremburge du Périgord) qui héritera de la seigneurie de Castelnau en Médoc le 19 octobre 1380. Archambaud épouse Isabelle de Foix, dame de Navailles, fille de Roger Bernard Vicomte de Castelbon, et c’est l’évêque d’Urgel en Catalogne qui leur impartit la bénédiction nuptiale au château de Civrac le 20 août 1381. En 1399, Mathieu de Castelbon, comte de Foix et de Béarn, meurt sans postérité et c’est Isabelle de Foix, sœur unique de Mathieu, qui hérite de tous ses biens et rattache ainsi les comtés de Foix et de Béarn à la maison de Grely. C’est depuis cette période que la branche de Grely n’a plus été connue que sous le nom de branche de Foix.

Archambaud de Grely, avant même de devenir comte de Foix, était un des principaux seigneurs du pays bordelais. On peut juger de son influence lorsqu’il s’opposa vigoureusement au duc de Lancastre en 1394, fraîchement élu duc de Guienne par Richard II roi d’Angleterre par Lettres Patentes du 2 mars 1389 faites à Westminster. Arrivé à Lormont le 9 février 1394, le duc de Lancastre n’obtint l’autorisation que de s’installer à Saint-Seurin et ce n’est que le 14 mars suivant, après d’âpres négociations, qu’Archambaud obtient de ce même duc de Lancastre la ratification de la possession de la seigneurie de la Tresnes ainsi que celle de la Mothe en Buch. De son mariage avec Isabelle de Foix, Archambaud aura 5 enfants mâles. Ce sera son second fils Gaston qui héritera des terres avec, entre autres, le château de Castelnau (titre daté du 20 juin 1432, voir tome I ).

Plus tard, Gaston III de Foix, est qualifié le 4 décembre 1529 et le 8 mai 1538 : seigneur , Baron de Castelnau. Il avait épousé en premières noces, Catherine de Lescun fille d’Odet Deydie, Vicomte de Comminges et de Marie de Lescun. Veuf, il épousa en secondes noces Marthe fille héritière de Jean III comte d’Astarac. Il fut père en premier lieu de François de Foix (Comte de Candale), de Christophe de Foix (évêque d’Aires décédé en 1569) et de François de Foix de Candale (successeur de son frère décédé à l’évêché d’Aires). Ce prélat fonda une chaire de Mathématiques au Collège de Guienne le 29 juillet 1591 et l’enregistra au Parlement par devant le notaire Dechadirac le 6 août suivant. Puis, Gaston III de Foix et Marthe d’Astarac furent parents de 2 filles : Marie de Foix de Candale (future Vicomtesse de Ribérac, ce sera cette dernière que l’évêque d’Aires François instituera comme héritière universelle le 15 mai 1592). Enfin, naîtra en dernier, Jacqueline de Foix de Candale.

Le premier fils de Gaston III, François, se mariera avec Françoise de la Rochefoucault et ils auront un enfant Henri de Foix de Candale qui épousera Marie de Montmorency ( Pair et Connétable de France). Henri fut tué au siège de Sommières et laissa deux filles : Françoise, qui sera abbesse de Sainte-Glossine de Metz, et Marguerite de Foix de Candale l’aînée qui fut l’héritière universelle de Henri et Marie. Elle se mariera en 1587 avec Louis Nogaret de la Valette, duc d’Epernon.

Comme je le rappelle sur le tome I, la seigneurie de Castelnau est considérée comme la plus considérable du Médoc après celle de Lesparre et de Blanquefort. Elle jouit du droit de Haute Justice sur les paroisses ou quartiers de Castelnau, Salaunes, le Porge, Listrac, Cussac, Moulix, y compris Broustéra et Bouqueyran, Courgas aujourd’hui Saumos et Sérigas.

Enfin, on est en droit de penser que, lorsque le bourg de Castelnau commença à se former, on sentit la nécessité de construire une église (chapelle) attenante au château, annexe en premier lieu de l’archiprêtré de Saint-Saturnin à Moulix, dans les anciens pouillés du Diocèse. Un peu plus tard, cette église est devenue maîtresse de ses droits et c’est par ces diverses gradations que s’est formée la paroisse de Castelnau qui n’est pas, à beaucoup près, très ancienne. On dénombre en 1770, 245 feux (foyers) ce qui supposeroit une population de 1225 personnes. 4 foires annuelles les samedis : le jour des Cendres, avant le jour des Rameaux, avant le dimanche de la Trinité et avant la fête de la Toussaint.

Pour terminer, un petit rappel : au XIVe siècle, l’abbé Expilly prétendra que Castelnau était l’emplacement de la ville engloutie de Noviomagus ce qui paraîtra dépourvu de toute vraisemblance aux historiens car, à ce jour, aucun vestige d’antiquité n’a été mis à jour sur le territoire de notre commune (même pas l’existence du souterrain du château, dommage).

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Pierre René Chauvet 1879/1964

Une autre figure castelnaudaise s’est illustrée hors des frontières de notre bourgade.

Pierre Aramis Chauvet, boucher de notre village, épouse le 27 novembre 1878 à Castelnau de Médoc, Jeanne Marine Adine Jeantry. Rapidement enceinte, Adine accouche le 27 septembre 1879 d’un petit garçon que les époux appelleront Pierre René. Ayant passé toute son enfance et suivi sa scolarité à Castelnau, l’adolescent passionné de musique, d’art et de littérature, grandira au travers d’études littéraires à Bordeaux, d’études musicales au grand conservatoire de Paris pour assouvir son rêve de jeunesse et devenir un compositeur reconnu, chef d’orchestre de concerts de musique classique puis directeur du Grand Théâtre de Bordeaux de 1914 à 1928, Bordeaux où il sera domicilié 103 boulevard David Johnston. Il sera engagé volontaire et mobilisé du 2 août 1914 au 30 janvier 1919 comme adjudant dans les Chasseurs Alpins (46ème division d’Infanterie) à Nice, combattra dans les Vosges et sera fait Chevalier de la Légion d’Honneur en 1930. A la fin des hostilités, il s’exilera à Vichy (03) où il deviendra Directeur du Grand Casino.
Très prolifique, il publiera un grand nombre d’œuvres musicales de tous genres : l’anniversaire opéra-comique en 2 actes, Il était une bergère opéra-comique en 1 acte, scènes pyrénéennes suite et orchestre de danses basques variées en 1910, scènes de carnaval et autres danses basques………. Au Théâtre de Bordeaux, il créera de nombreuses pièces de théâtre dont fleurette, l’heure espagnole, le savetier du Caire, quand la cloche sonnera, l’amour sorcier, le Chevalier de la Rose……… Il écrira des musiques pour des pièces de la poétesse roumaine Hélène Vacaresco, représentante de la Roumanie à la Société des Nations mais aussi des poésies d’Alfred de Musset comme Adieux à Suzon.
Sur ses vieux jours, il sera Président Fondateur de la Mutuelle des Musiciens Anciens Combattants Bordelais (MMACB), Organisateur de manifestations de bienfaisance pour venir en aide aux œuvres suivantes : fédération girondine des œuvres antituberculeuses, le phare de Bordeaux pour la rééducation des aveugles, organisateur de colonies de vacances scolaires pour la Croix Rouge française, initiateur des crèches pouponnières de la Bastide, membre du jury du Conservatoire de Bordeaux, Fondateur et Directeur de la Société Philharmonique bordelaise, membre de la Société des Amis de l’Art………..
Il s’éteindra le 28 décembre 1964 à Bayonne (64) à l’âge de 85 ans.

De Jean-Claude Gaillard, octobre 2013

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Mairie de Castelnau, procès-verbal

L’an dix-huit cent quatorze et le quinze octobre (15 octobre 1814)

Nous, Alexis Lafon Ducluzeau , Maire de la commune de Castelnau de Médoc, chef-lieu de canton avons convoqué par autorisation de Mr le Sous-Préfet notre Conseil Municipal , dans une salle de la Mairie, , nous lui avons donné connaissance que la majeure partie des communes de la France, voulait donner à Louis XVIII , leur légitime Souverain, une preuve de leur attachement au Gouvernement et à sa personne, avaient supplié sa Majesté de recevoir l’hommage et l’abandon de la fourniture dont le remboursement avait été ordonné, en compensation d’une imposition de 1814.
Le Conseil Municipal de la commune de Castelnau présidé par le Maire, observe qu’à l’époque du 13 mars dernier, il a donné à son légitime Souverain une preuve non équivoque de son attachement à son Gouverneur et de sa personne.
Qu’en conséquence, l’Exemple d’autres communes pour influer sur leurs vœux et arrêtent qu’il sera fait une adresse au Roi en leur nom, et comme représentant la commune, pour supplier sa Majesté de promettre qu’ils offrent pour eux, et leurs administrés l’abandon des sommes qui restent bien à la commune, sur les fournitures qui ont été faites et dont la compensation était ordonnée sur l’avis d’imposition de 1814.
Arrêté de plus, copie de la présente délibération sera affichée pendant huit jours afin que les habitants en ayant connaissance et puissent faire inscrire à la Mairie en cas de refus de leur part.
Fait le délibéré en Conseil Municipal, le jour, mois et an susdits.
Documents signés par : Bergeron père, Labat, Bernon, Labadie, Hugon, Roux, Guiron, Taverzac, Tapy et Drillon, approuvé par Lafon Ducluzeau Maire de Castelnau.



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